Samedi prochain, à savoir le 28 novembre, des collectifs citoyens de la diaspora algérienne vont organiser un grand rassemblement devant le Consulat d’Algérie de Marseille situé au 363 rue Paradis. Ce rassemblement a pour objectif d’exiger la réouverture des frontières algériennes fermées totalement depuis le 17 mars dernier.
« Cette interdiction de circuler, outre le fait qu’elle met en danger les entreprises publiques de transport (Air Algérie, ENMTV, etc…), a engendré des détresses sociales, psychologiques et sanitaires pour de nombreux algériens et algériennes », ont expliqué les auteurs de cette initiative dans un communiqué parvenu à la Rédaction d’Algérie Part. « En effet, plusieurs de nos concitoyens, en attente de soins vitaux sont mis en danger de mort. La situation des algériens retraités, souvent malades et isolés, est aussi dramatique : alors qu’ils ne viennent habituellement en France que pour des démarches administratives ou des soins, ils se retrouvent bloqués sur le territoire français avec de maigres pensions qui ne leur permettent pas de supporter des frais d’hébergement durant toute la durée du confinement », ont souligné également les responsables du Collectif pour une Alternative Démocratique et Sociale en Algérie (Cadsa-Marseille).
Ce collectif a décidé de se mobiliser avec d’autres collectifs et associations de la diaspora algérienne en France pour interpeller publiquement « les représentations diplomatiques, notamment l’Ambassadeur d’Algérie en France, sur l’urgente nécessité d’apporter une solution à cette crise (par l’instauration d’un protocole sanitaire ou de tests systématiques aux frontières par exemple) », affirme-t-on encore dans le communiqué annonçant la tenue de ce grand rassemblement devant le Consulat d’Algérie à Marseille.
« D’autres concitoyens, endeuillés par la disparition de leurs proches en Algérie, se retrouvent également privées d’aller assister à leurs funérailles et de retrouver leur entourage familial afin de surmonter ces dures épreuves et de faire le deuil. Cet isolement engendre une grande souffrance pour eux. Alors que de nombreux pays du Maghreb et d’Afrique ont repris leurs liaisons aériennes avec l’étranger, les autorités algériennes, au nom d’une supposée lutte contre la pandémie du COVID-19, ferment ses frontières, créant ainsi une situation de détresse économique et sociale aux conséquences dramatiques pour les algériens », déplore en dernier lieu la même source.
Le « boulot » n’est pas encore terminé pour ouvrir les frontières. Il y a trop de personnes encore libres qui s’expriment.
Depuis 1962 ( voir bien avant) on nous a mis une laisse autour du coup.
Celle d’aujourd’hui, est plus subtile puisque elle permet de créer l’illusion de « s’éloigner « un peu plus.
Mais, dès que nos maîtres actionnent le bouton rembobinage, « Algérie Boby »( hachakoum) revient inexorablement à sa place…( pas bouger, coucher).
IL EST PEUT-ÊTRE TEMPS QUE « Bouby » morde ses maîtres, les attaques à la gorge et ne les lâchent plus.
S’il vous plaît par amour de l’Algérie et de nos proches la bas nous devons manifester en France partout afin que ces abrutis ouvrent les frontières M…..E OUVREZ LES FRONTIÈRES nous sommes les seuls à ne pas les avoir ouvert bandes d’abrutis nos membres de familles meurent sans que l’on puisse les voir quel scandale je vous maudit MANIFESTONS.