La situation est alarmante à NAFTAL, filiale stratégique du groupe Sonatrach, l’entreprise publique chargée de la distribution des carburants et lubrifiants ou produits pétroliers en Algérie. Depuis le début de l’épidémie, plus de 600 cas COVID-19 ont été déplorés à Naftal. Mais depuis la rentrée sociale au mois de septembre dernier, plus de 200 cas infectés par la COVID-19 ont été comptabilisés à la direction générale de NAFTAL basée à Chéraga à Alger.
Face à la forte propagation des cas positifs, la direction générale a décidé de fermer mardi passé la cantine aux employés. Or, cette décision a été jugée insuffisante par les travailleurs de NAFTAL qui dénoncent l’absence de la moindre prise en charge médicale et sociale. Les travailleurs soupçonnés de développer des symptômes du COVID-19 ne sont pas dépistés alors que NAFTAL s’est targué d’avoir acquis un quota de tests de dépistage PCR pour renforcer son dispositif de prévention sanitaire afin de protéger la santé de ses travailleurs.
Or, les employés de NAFTAL n’ont jamais vu la couleur de ces tests de dépistage et les cas confirmés ou suspects sont contraints de prendre leurs congés et de partir dans les cliniques privées pour se faire dépister à leurs propres frais sachant qu’un test de dépistage PCR en Algérie coûte plus de 15 mille Da, à savoir presque 80 % du salaire minimum !
Le directeur général de NAFTAL, Kamel Benfriha, est très critiqué par les travailleurs en raison de sa gestion très hasardeuse de la crise sanitaire. Pis encore, le premier homme de l’entreprise ne donne pas l’exemple et fait preuve d’un énorme incivisme. Preuve en est, hier samedi, lors d’une déplacement à Sétif pour une visite d’inspection, Kamel Benfriha a fait une apparition dans une station-service avec une cigarette entre les mains et un masque qui n’est pas porté correctement. Les images retraçant le déroulement de cette scène ont été massivement diffusées sur les réseaux sociaux soulevant ainsi l’indignation des travailleurs de NAFTAL.
Des travailleurs bouleversés par les conséquences de l’épidémie du COVID-19 car au moins 7 de leurs collègues sont décédés depuis le mois de mars dernier des symptômes du COVID-19. Face au danger, les travailleurs de NAFTAL attendent une attitude beaucoup plus responsable de leur Directeur Général !
Si vraiment c’etait vrai, alors il est legitime de se poser la question:d’ou ramenent-ils tous ces energumenes? il se la fout mal pour un DG!!!!Ce n’est pas de l’incivisme de fumer dans une station d’essence mais unmanque flagrant de professionalisme etd’esprit de securite pour les installations, des clients et des travailleurs de la part du DG , il faut vraiment le faire!!! Il aurait du etre expulse par le gars de la securite et advienne que pourra si ce dernier avait un minimum de conscience professionnelle!!!!!!!!!Pour le moment,il n’y a qu’Algeriepart et Hichem Aboud qui les mettent a nu.
la fermeture de la cantine n’a rien a voir avec le covid , le pdg de naftal a annuler abusivement un appel d’offre sur un simple coup de tete et a pietiner les lois , les reglements et le volet judiciaire dans la gestion des marches , son geste compulsif a mis au chomage une centaine d’employes du prestataire sur une decision a la (tetus le chikour) , pire il a fait appel a un ami ( le dg de l’hotel samitel ) pour livrer les repas des employes en coffrets repas , chose que ce dernier peine a assurer a ce jour …. a suivre