Comme à Paris, la première journée du lancement de la commercialisation des packs voyages qui permettent aux membres de la diaspora algérienne en France de retourner au pays après plus d’une année et demie de fermeture hermétique des frontières a été marquée par des scènes surréalistes qui en disent long sur l’anarchie ayant entouré l’organisation de cette réouverture partielle des frontières algériennes.
Une anarchie et des débandades qui ont intrigué de nombreux titres de la presse française. « Ce matin, c’était la folie, il y a des gens qui ont dormi là. C’est parce qu’ils n’en peuvent plus. Il faut se mettre à leur place… Les vols étaient fermés pendant un an et demi et là il n’y en a qu’un », a témoigné Rachid au micro de la célèbre radio française Europe 1, l’une des stations les plus écoutées et influentes en France. Ce ressortissant algérien établi à Marseille a décrit parfaitement l’atmosphère enfiévrée qui a régné toute la journée de ce lundi 31 mai devant les portes de l’agence d’Air Algérie à Marseille.
« Ça veut dire qu’on pourrait ne partir que dans un mois ou un mois et demi », s’est agacé encore Rachid au micro d’Europe 1. « Moi je suis là depuis 7h du matin », a-t-il confié aux journalistes français
Debout dans la queue, il soupire : « Moi je suis là depuis 7h du matin. » Europe 1 a consacré tout un reportage à cette ambiance unique en son genre autour de l’agence d’Air Algérie à Marseille.
« Un cordon de policiers protégeait lundi matin l’agence marseillaise d’Air Algérie. Des dizaines de personnes s’y sont précipitées dès l’ouverture pour tenter d’acheter un billet d’avion, les frontières algériennes rouvrant mardi après être restées fermées pendant plus d’un an pour cause de Covid-19. Devant l’agence, des clients mécontents s’exaspéraient du petit nombre de vol et des restrictions sanitaires imposées pour pouvoir embarquer », raconte ainsi Europe 1 dans son reportage dans lequel elle n’omet pas de récolter les témoignages « croustillants » de certains interlocuteurs désenchantés par les conditions draconiennes imposées par les autorités algériennes.
« C’est injuste. Celui qui a de l’argent peut y aller, celui qui n’en a pas ne peut pas. C’est plus facile d’aller au paradis qu’en Algérie », s’est emporté ainsi un autre ressortissant algérien mécontent. Soulignons enfin que la police française a été contrainte d’intervenir régulièrement pour veiller sur l’ordre public et empêcher des débordements majeurs qui auraient pu dégénérer en violents affrontements autour de l’agence d’Air Algérie à Marseille.
One Two Three viva la nouvelle Algérie
Un petit peuple libre est plus grand qu’un grand peuple esclave.(V- Hugo )
C’est notre mentalité , après avoir crié ,il se met à genoux en pleurant comme un enfant ,le pouvoir c’est bien ce qu’il fait avec des gens pareilles.
A NE RIEN COMPRENDRE: ILS MANIFESTENT A CAUSE DE LA CHERETE DES BILLETS ,PUIS ILS SE BOUSCULENT COMME DES SAUVAGES DEVANT LES AGENCES AIR ALGERIE,WELLAH AYBB ALIKOUM.
il fallait patienter et boycotter AIR ALGERIE pour forcer ses responsables a reduire les prix mais ALLAH GHALEB
Air Zlabia et le pouvoir algérien s’arrangent toujours pour fiche la honte par leur organisation tiers-mondiste. C’est la seule compagnie du Maghreb qui est se livre à ce spectacle. Et cela même dans les années 90 avenue de l’Opera à Paris. Quand ce ne sont pas des emeutes dans les aréoports français ce sont des campements en pleins centre-villes à Marseille ou Paris. A croire que Air Zlabia n’est pas informatisé pour vendre ses billets en ligne.