Contrairement à ce qui est affirmé par les autorités algériennes, l’épidémie de la COVID-19 en Algérie tue beaucoup, mais vraiment. Preuve en est, dans plusieurs régions en Algérie, le taux de létalité dépasse de loin la moyenne mondiale.
D’abord, il faut savoir que le taux de létalité est le rapport entre le nombre de décès imputés à la COVID-19 et le nombre de cas confirmés de celle-ci. C’est le nombre des décès rapportés au nombre des cas contaminés par le coronavirus COVID-19. Si le taux de létalité national est de 2,89 %, selon les dernières données du bulletin épidémiologique publié le 3 décembre dernier par l’Institut National de la Santé Publique (INSP), il s’avère que certaines ont un autre des taux létalité très effrayants supérieurs à 5,00 %.
Il s’agit de Sidi Bel Abbès (9,51 %), Bordj Bou Arreridj (7,56 %) et Tizi Ouzou (5,32 %), Tamanrasset (6,16 %), Mila (6,14 %) et Tébessa (5,81 %).
Il faut savoir que selon le décompte tenu par l’université Johns-Hopkins et qui agrège plusieurs sources officielles, la moyenne du de létalité apparent global est de 5,14 %. Mais plusieurs autres études scientifiques ont été réalisées pour démontrer que le taux de létalité est en réalité beaucoup plus bas.
L’OMS elle-même a explique récemment que « le véritable niveau de transmission est souvent sous-estimé car une large part des personnes infectées ne sont pas détectées, soit parce qu’elles sont asymptomatiques, soit parce qu’elles n’ont que des symptômes légers et ne se présentent donc généralement pas dans les établissements de soins ». Dans ce contexte, pour les experts de l’OMS, le taux de létalité réel se situe entre 0,5 et 1 % selon les études. Dans tous les cas, bien au-dessus de la grippe saisonnière, qui se situe à 0,1 %. Et si on se base sur cette moyenne, le taux de létalité national en Algérie ou régional dans plusieurs wilayas du pays est énormément élevé et dangereux. Pourquoi ? Parce qu’en Algérie, faute d’une bonne prise en charge médicale dans les hôpitaux, beaucoup de cas contaminés et infectés finissent par décéder alors qu’on aurait pu sauver leur vie.
C’est ce qui explique l’augmentation du taux de létalité de la COVID-19 en Algérie.
Attention le vaccin ne sera pas efficace contre le covid comme le prétend le fameux professeur ( ministre) ,en plus il y aura plusieurs effets secondaires. Il vont le même coup que la Cloriquine, alors que tous les pays appelaient au danger de ce médicament et pour les effets secondaires, mais on Algérie les dirigeants ont fait de leurs têtes ,une fois que la mortalité a augmenté qu’ils ont compris, bien sûr les dirigeants s’en foutent , personne ne peut les juger ,si c’était dans un pays démocratique tous les morts seraient passer par une autopsie et ce ministre serait condamné à la prison en plus il croit toujours au MEKTOUB et c’est le destin car l’erreur humaine n’existe pas en Algérie.
Le MEKTOUB n’existe pas non plus. C’est une invention de la culture moyenne-orientale. Nous sommes une société archaïque et folklorique. Nos dirigeants le savent et ils en abusent.