Le mois d’octobre est une véritable calamité pour l’Algérie. L’épidémie du COVID-19 a repris du poil de la bête notamment dans les wilayas de l’ouest du pays, comme nous l’apprend le dernier rapport de l’Institut National de la Santé Publique (INSP) sur la situation épidémiologique en Algérie.
Datant du 31 octobre dernier, le dernier bulletin de l’INSP souligne qu’à partir du 08 octobre, l’Algérie subit de plein fouet l’augmentation vertigineuse des nouveaux cas déclarés positifs quotidiennement au COVID-19. Ainsi, la moyenne quotidienne a été de 294,6 entre le 25 et le 31 octobre dernier alors que cette moyenne était de 239,6 entre le 18 et le 24 octobre dernier. D’après les données recueillies par l’INSP, l’augmentation la plus importante est observée dans les wilayas de la région Ouest où le nombre moyen quotidien des nouveaux cas de COVID-19 a pratiquement doublé lors de la dernière semaine du mois d’octobre.
Auparavant, c’était l’est algérien qui connaissait une forte circulation du virus qui a abouti ces jours-ci aux saturations des hôpitaux dans certaines wilayas comme à Jijel où une nouvelle vague déferlante de nouveaux cas hospitalisés a plongé totalement la population de Jijel dans l’effroi. Soulignons enfin que les wilayas enregistrant une forte incidence de cas contaminés confirmés par des tests de dépistage PCR sont Blida : 333,77 pour 100 mille habitants, Oran 243,16, Jijel 225,56 , Bejaia 218,21, Annaba 217,62, Tipaza 215,82 et Tindouf 212,36 cas pour 100 000 habitants. Ce sont les wilayas les plus touchées par l’épidémie du COVID-19 en Algérie.
vous menez vos instructions à charge!
pourqui roulez vous?
jamais une chose positive ou laissant de l’espoir
On sent que les algeriens aiment le président, et l’amour de quelqu’un ne se fait pas que lorsqu’on est malade où mort mais c’est avant , bien sûr le président a besoin de câlins mais il faut que ça dure et pour toujours.
je lis le contenu de ce site depuis plus d’un an et je n’arrive toujours pas à comprendre ses objectifs. Comme la totalité des médias algériens, ce journal en ligne roule pour une partie d’un pouvoir (lequel je ne sais pas) qui le finance et qui l’alimente en « bonnes » informations. Ce n’est pas avec 2 ou 3 journalistes qu’on fait un journal. Si l’idée d’un journal d’investigation a séduit au départ…je ne peux que constater que tout est sélectif dans les sujets traités. Comme l’indique un commentaire, c’est toujours pour annoncer ce qui ne va pas mais jamais ce qui va en Algérie. Je ne peux que recommander à chaque lecteur de lire plusieurs articles dans d’autres journaux en ligne ou pas et se faire sa propre opinion. Nous ne sommes pas des moutons.
Bien à vous !