Attention, au cours de l’année prochaine 2021, les prix des produits agricoles et alimentaires de base sur les marchés mondiaux vont connaître des augmentations et d’importantes perturbations en raison des effets de la pandémie du COVID-19, a prévenu le 22 octobre dernier la Banque Mondiale qui a rendu public la dernière édition semestrielle de son rapport Commodity Markets Outlook.
« Les prix agricoles devraient augmenter légèrement en 2021, après une hausse estimée à 3 % en 2020 et un déficit dans la production d’huiles comestibles », a estimé ainsi la Banque Mondiale qui prévient les pays dépendant de leurs importations à l’étranger pour assurer la couverture de leurs besoins alimentaires nationaux à l’image de l’Algérie qui importe chaque année l’équivalent de 8 jusqu’à 10 milliards de dollars afin de nourrir sa population.
L’Algérie est classée ainsi dans la catégorie des pays les plus fragiles face à des chocs extérieurs qui menacent directement leur sécurité alimentaire. « Le spectre de l’insécurité alimentaire continue de planer sur plusieurs économies émergentes et en développement. Ces craintes sont motivées par l’impact de la récession mondiale sur les revenus, les problèmes de disponibilité de nourriture au niveau local et une offre de main-d’œuvre limitée par les restrictions imposées aux déplacements transfrontaliers. Plusieurs pays ont enregistré des pics d’inflation des prix alimentaires », prévient ainsi la Banque Mondiale et ce message devra vraiment être bien enregistré par les autorités algériennes qui risquent de se retrouver dans une situation très délicate avec notamment une crise financière sans précédent à gérer à cause de la chute brutale des recettes en devises des exportations du pays, mais avec toujours les mêmes contraintes budgétaires pour financer les importations nécessaires à la sécurité alimentaire de la population algérienne.
A ce sujet, la Banque Mondiale a expliqué que les marchés des matières premières ont connu de nombreux chocs, dont la pandémie n’est que le dernier en date. Le dernier rapport de la Banque Mondiale consacre un dossier spécial en se penchant sur 27 produits de base entre 1970 et 2019. Ce rapport nous apprend ainsi que les chocs permanents sont ainsi responsables de la variabilité des prix de la plupart des produits de base agricoles. Un choc transitoire sur les prix des produits de base pourra ainsi exiger de mener une politique de relance budgétaire afin de réguler la consommation, suggère enfin la Banque Mondiale aux pays les plus fragiles comme l’Algérie.
Il faut savoir en dernier lieu que durant le mois de janvier 2020, a facture d’importation des produits alimentaires en Algérie a atteint 625,84 millions de dollars. Représentant près de 27% de la structure des importations alimentaires, les céréales, semoule et farine ont atteint 167,96 millions usd en un seul mois de cette année 2020. C’est dire que la dépendance de l’Algérie vis-à-vis de l’étranger pour se nourrir est une véritable problématique qui empêche sa souveraineté.
l’Algérie n’a plus d’argent, tout est cher , alors que maintenant la hissaba a réussie sa revanche avec cette fameuse élection gagnée avec quelques électeurs , voilà la nouvelle Algérie , on a commencé a libéré quelques amis qui sont en prison , on a diminué les peines a quelques uns et ça c’est garantie qu’ils seront libérés avant la fin du mandat de Tebboune s’il n’est pas mort d’ici-là surtout ce que je ne lui souhaite pas inchallah, mais vu l’oedème pulmonaire a cause du tabac en plus le covid qu’il a c’est inquiétant, en tous les cas là vie chère en Algérie ne va pas arranger le quotidien du peuple et ce qui sont a la tête du pouvoir n’ont nullement l’intention de changer ou de s’inquiéter pour l’avenir de la nation , ils vivent dans un égoïsme total.
On fera comme durant le ramadan : un repas pas jour
Et on devrait s’en sortira !
12 mois de ramadan par an hégirien. Une soupe aux oignons fera l’affaire.