Durant toute l’année 2020, le précédent gouvernement Djerad a dirigé l’Algérie sans produire le moindre impact… sur son développement. En dépit de la crise financière et économique qui étouffe le pays depuis le début de la pandémie au mois de mars 2020, le gouvernement Djerad n’a entrepris aucune action concrète ou sérieuse qui a pu insuffler une dynamique favorable à la protection des équilibres financiers et économiques du pays. Pis encore, le gouvernement algérien a échoué magistralement à faire aboutir la moindre tentative de relance économique. Malgré ce bilan très mauvaise, le président Abdelmadjid Tebboune a confié une nouvelle fois l’Algérie à un gouvernement Djerad III. Inédit !
Pour prendre conscience du bilan catastrophique de l’équipe dirigeante conduite par Abdelaziz Djerad, il suffit de prendre des exemples concrets. Prenons le cas de l’Agriculture. En 2020, le gouvernement algérien s’était engagé dans la la création d’un office de l’agriculture saharienne. Un décret exécutif portant création de l’office de développement de l’agriculture industrielle en terres sahariennes. Mais concrètement, sur le terrain, combien de projets agricoles ont été lancés pour permettre à l’Algérie de réduire sa dépendance de ses importations à l’étranger ? Rien, Nada ! Zéro !
Pendant toute une année, Abdelaziz Djerad, son ministre de l’Agriculture, et les autres membres du gouvernement ont uniquement travaillé sur l’élaboration d’un projet d’arrêté qui est toujours en cours de finalisation. 02 autres arrêtés interministériels sont aussi en cours d’élaboration. En clair, pendant toute une année, le gouvernement algérien n’a pas pu terminer la confection des textes théoriques ! Honteux.
Toujours dans le secteur de l’agriculture. Le gouvernement Djerad s’était engagé en 2020 à améliorer la gouvernance des terres agricoles publiques dont les terres pastorales avec pour objectif de lancer l’exploitation agricole de pas moins de 2,3 millions d’hectares. Et quelles sont les réalisations ? Encore zéro résultats sur le terrain. Que des annonces ans lendemain.
Dans le secteur de l’Industrie. Le bilan est encore plus chaotique. Pas le moindre projet lancé. Que des annonces et des plans de maquettes. A titre d’exemple, le gouvernement algérien s’était lancé dans l’initiation du plan de révision de l’organisation des zones industrielles. Mais, comme d’habitude, sur le terrain, rien n’a été accompli. Un décret exécutif relatif à la création de l’Office National du Foncier Industriel (ONFI) a été adopté et 3 textes d’application y ‘afférents sont en préparation. Du côté des entrepreneurs et industriels, l’accès au foncier relève toujours de la mission impossible.
Le même gouvernement dirigé par Abdelaziz Djerad s’était engagé dans le développement des industries manufacturières avec la transformation de l’alfa qui sert notamment à fabriquer des papiers d’impression de qualité. Le même gouvernement avait promis de terminer les études sur la faisabilité de la relance de la réalisation des trois projets industriels : Nouvelle Usine de Chlore »NUC », Nouvelle Usine de Papier »NUP »et Projet Impression Ecriture « PIE »). Et à la fin de l’année 2020, quelle réalisation ? Toujours et encore zéro au compteur.
Ensuite, le gouvernement dirigé par Djerad voulait encourager l’exportation de l’huile d’olive. Un secteur effectivement prometteur en Algérie. 70% de l’huile d’olive produite localement est vierge extra avec des perspectives d’atteindre une meilleure qualité. Les perspectives peuvent être alléchantes et certaines études ont montré que l’Algérie peut engranger jusqu’à 5 milliards de dollars par an si elle exportait de grosses quantités d’huile d’olive.
La Tunisie voisine a gagné en 2020 plus de 680 millions d’euros d’exportations d’huile d’olive. Et pourtant, la Tunisie a une surface agricole beaucoup moins importante pour la production de l’huile d’olive par rapport à l’Algérie. En 2020, le gouvernement algérien dirigé par Abdelaziz Djerad a entamé l’organisation d’un atelier de sensibilisation des
opérateurs concernés et une première réunion a été tenue le 14.10.2020 pour encourager le consortium d’exportation de l’huile d’olive. Excepté des actions de sensibilisation, aucune mesure financière, fiscale ou économique n’a été prise pour accompagner ce processus industriel pour permettre l’exportation de l’huile d’olive algérienne. Résultats des comptes : l’année 2020 s’est terminée comme les autres années précédentes avec des quantités exportées totalement dérisoires ou ridicules par rapport aux autres pays méditerranéens comme la Tunisie.
Malheureusement, le même constat est à dresser pour tous les autres secteurs stratégiques du pays. Durant toute l’année 2020, Abdelaziz Djerad et ses ministres n’ont absolument rien produit d’utile pour le pays alors que nous étions, et nous le sommes encore plus aujourd’hui en 2021, en pleine crise financière. Aucune démarche favorable à la relance économique n’a été entamée ou développée avec des effets concrets sur le terrain. Ce gouvernement fut enfin un véritable ralentisseur pour le pays.
Alger: des millions de personnes seront privées d’eau à partir de mars
Plusieurs communes de la capitale algérienne font face à une pénurie d’eau depuis le 9 février 2021. Au lieu de parler de l’impossibilité à produire l’eau potable, par une étonnante pirouette, la Société des eaux et d’assainissement d’Alger (SEAAL) évoque une sur-consommation des Algérois.
Les Algérois ont encore en mémoire les coupures d’eau qui avaient gâché l’année dernière, la fête de l’aïd el-Kébir. Ils risquent d’être à nouveau confrontés aux mêmes difficultés d’ici peu. En effet, selon le site d’information Tout sur l’Algérie, les coupures seront bientôt de retour dans plusieurs communes de la capitale.
« Selon des informations en notre possession », écrit cette source, « la capitale pourrait être confrontée en effet à une grave crise d’eau à partir de mars ». Il s’agit de coupures dont la durée n’est pas connue, qui concerne beaucoup de communes de la mégalopole et qui serait liées à un déficit de production. Mais évidemment, la Société des eaux et d’assainissement d’Alger préfère voir le verre à moitié plein et parle d’un « niveau de consommation en eau exceptionnellement élevé ».
En réalité, le déficit hydrique a déjà commencé pour beaucoup d’habitants de la capitale. En effet, depuis le 9 février dernier, il est impossible de s’approvisionner correctement à Djisr Kasentina, alors que les résidents de Chéraga, Dely Brahim, El Achour et Draria n’ont plus accès à l’eau courante depuis le 16 février. Les habitants de Douera, quant à eux, sont confrontés à cette même pénurie depuis hier, mardi 23 février.
Tarn-et-Garonne : démantèlement d’une énorme filière de travailleurs agricoles marocains
Les forces de l’ordre ont démantelé un important réseau. AFP – THOMAS COEX
Publié le 25/01/2021 à 20:55 99 commentaires
Un important réseau de saisonniers originaires du Maroc et dont l’organisation était centralisée à Montauban, a été démantelé la semaine dernière par les enquêteurs. Plus de 250 travailleurs illégaux nourrissaient cette filière illicite.
Al Ta7ane Al Q7ab Al Zbel!
Vive Zezafi!
Vive le Polisario!
En 2021, encore des penuries d’eau à Alger!! Les Senegalais rigolent. A raison.
Qu’en est-il des coupures d’électricité qui impactent des quartiers entiers à Alger?
Tebboune est le Boutesrika N° 2 du clan « Chaouis » toujours inamovible depuis 1962 ! Il tient un rang de fusible juste au dessus des KDS (kabyles de service).Il n’a aucune prise sur les chaouis-badissistes, coeur du système prédateur algérien s’estimant « omniscient » ! Tous descendants du Prophète Mohamed (SAAWS). Comme dirait les belges : Acheter un français pour ce qu’il vaut et revendez-le pour ce qu’il s’estime. Cette maxime irait comme un gant aux claniques chaouis prétentieux.