Si l’Algérie fait encore partie des 40 pays les moins heureux de la planète selon le « World Happiness Report 2021 », un rapport mondial réalisé sous l’égide des Nations-Unies comme il a été expliqué dans une précédente publication d’Algérie Part, c’est parce que les Algériennes et Algériens souffrent énormément de l’impossibilité de vivre librement dans leur propre pays.
Pour l’ONU, six points sont essentiels au bonheur des individus au sein d’un pays. Naturellement, parmi les différents critères on retrouve le PIB par habitant, l’espérance de vie en bonne santé et l’absence de corruption. Les trois autres critères mis en avant par l’ONU sont beaucoup moins classiques. D’après le rapport de l’organisation, la possibilité de faire ses choix librement, la générosité et le fait d’avoir quelqu’un sur qui compter sont essentiels au bonheur des individus.
Grâce à ces six critères, l’ONU a pu dresser la liste des pays où il fait bon vivre en publiant chaque année le « World Happiness Report ». Pour établir le classement annule des 150 pays à travers le monde auscultés par ce rapport, l’organisation mondiale s’est basée sur des données fournies par les Etats, mais aussi sur des travaux de l’OCDE et de l’institut américain Gallup. En recoupant toutes ces informations, l’ONU a pu mesurer précisément le bien-être des individus par pays, mais aussi dresser une liste de critères sous-jacents au bonheur. Afin de classer les pays, les experts se sont basés sur les propres évaluations des individus de leur bonheur, soit de leur bien-être subjectif, grâce à l’échelle de Cantril : ils ont dû évaluer leur vie sur une échelle de 0 à 10, 0 correspondant à la « pire vie possible » et 10 à la « meilleure vie possible ».
Ainsi, en dans l’édition 2021 « World Happiness Report », l’Algérie récolte une note catastrophique dans la catégorie de « la possibilité de faire ses choix librement ». En effet, dans cette catégorie, l’Algérie récolte la note chaotique de 0,38 sur 10. L’Algérie est considérée ainsi par le « World Happiness Report » comme l’un des pays les plus autoritaires et les moins libres au monde pour les individus. Ce classement de l’Algérie reflète une sinistre actualité où les Algériens continuent de se battre pour des libertés publiques fondamentales en 2021. Alors que ces libertés sont devenues une évidence dans certains pays y compris africains ou en Amérique Latine, en Algérie, elles sont toujours interdites et réprimées. Preuve en est, tout au long de l’année 2020, des algériennes et algériens ont été condamnées à de la prison ferme parce qu’ils ont seulement publié des commentaires sur les réseaux sociaux dans lesquels ils ont exprimé des positions hostiles au régime algérien.
Dans un tel pays marqué par une absence des libertés publiques, il est naturellement difficile de parler de bonheur et d’épanouissement pour les citoyennes et citoyens. C’est ce qui explique les conclusions accablantes du « World Happiness Report » sur l’Algérie.
Le système est un gros bébé joufflu de 60 ans qui ne veut plus se séparer de son joujou.
Il n’est pas partageur du tout. Il lui arrive même de frapper et de pleurer en même temps.
C’était un enfant gâté, qui peut mal finir la longue !
Au Hirak, fils du pauvre, il est demandait d’aller jouer ailleurs !
Ahahhahahahahahaha….On en apprend tous les jours avec Semmar l ex complice du régime des Bouteflika….Mieux que le l’encyclopédia universalis…
Semmar aime être lu et repris par tous les Neo Harki et les sangliers avec un QI d huitre…
Toujours l’Algérie jamais chez les marocaca, pour ces pays le Maroc est un paradis et le seul pays du droit de l’homme. Ces pays ne parlent jamais des prisons du Maroc , a moins qu’ils n’y a pas de prisons puisque la plupart des détenus disparaissent avec de l’acide c’est pour cela qu’ils ne s’aperçoivent pas, ou bien ils sont aveugles avec les chèques qu’ils reçoivent de l’homo6exuel.