Triste année 2020 pour les libertés publiques et politiques en Algérie. Les autorités algériennes ont multiplié cette année les atteintes aux droits de l’Homme, les arrestations arbitraires ou les emprisonnements pour des motifs politiques dans le seul but de réprimer la liberté d’expression. Ce n’est donc pas une surprise que l’Algérie termine l’année 2020 en se retrouvant parmi les 33 pays qui bafouent les droits politiques de leurs citoyens.
C’est l’indice des Droits politiques dressé chaque année par la Freedom House qui nous apprend ce classement terrifiant de notre pays. La Freedom House est une organisation non gouvernementale indépendante qui aide au développement des libertés dans le monde. Elle est basée à Washington et elle est réputé pour toucher des financements importants du gouvernement fédéral américain pour garantir son autonomie financière par rapport à de nombreux lobbys malveillants. De nombreux dirigeants américains très influents ont dirigé cette ONG comme l’ancien directeur de la CIA entre 1993 et 1995, James Woolsey.
Pour établir le classement des pays les plus respectueux des droits politiques, la Freedom House évaluent trois catégories: le processus électoral, le pluralisme et la participation politiques et le fonctionnement du gouvernement. Malheureusement, l’évaluation de la situation actuelle de l’Algérie ne lui permet guère de briller comme un pays tolérant et respectueux des libertés politiques ou publiques. Preuve en est, de nombreux détenus d’opinion sont encore emprisonnés jusqu’à aujourd’hui à l’image de Khaled Drareni, Rachid Nekkaz, Toufik Hassani, Ali Ghediri et bien d’autres activistes ou militants pacifiques comme le lanceur d’alerte originaire d’Oran Nourredine Tounsi.
En 2020, l’Algérie s’est classée parmi les 33 pays qui bafouent les droits politiques de leurs citoyens et habitants. Elle vient juste après le Yémen en guerre ou la Libye ravagée par les tensions géopolitiques déclenchées par les luttes entre les grandes puissances régionales. En termes de répression des droits politiques, l’Algérie a fait pire en 2020 que l’Egypte ou l’Iran, deux pays très autoritaires et épinglés régulièrement pour leurs dérives dictatoriales. C’est dire que la situation des libertés démocratiques s’est dangereusement dégradée en Algérie en 2020. Si l’Algérie poursuit sa régression au niveau des droits politiques, elle finira par ressembler au Tchad, l’Arabie Saoudite ou le Gabon, les pays qui étouffent totalement leurs populations et verrouillent tous les champs d’expression pour empêcher l’avènement de la démocratie.
Dommages que c’est vrai. Tant que des parasites squattent les positions décisionnels de l’état Algérien, c’est cela une des conséquences de leurs crimes contre l’Algerie et son peuple.
Juste pour votre malinformation, l’Égypte dans l’affaire de l’etudiant italien Giulio Regini avait pendu cinq pauvres égyptiens, pour arriver la conclusion suite aux pressions italiennes que son exécuteur est inconnu!!!
Et vous osez classer notre pays derrière l’Égypte et juste devant le Yemen et la Libye qui sont à feux et sang !!!
Quelle ingratitude ??
Heureusement que le ridicule ne tue pas …
L’Algérie ne donne pas droit à sa diaspora d’occuper des postes important ! Interdit par la loi !!! Il faut vivre plus de 10 ans en Algérie sans interruption !!! Sauf pour les footballeurs !
Tu es bien payé et tu fais bien partie des goumia 4.0 jamais vu un de tes article qui n’a pas un but pour casser le moral des des algeriens pour semer le ko et comme tu empche un peu plus des autres qui veulent casser lbled
Tu n’es qu’un monable haki 4.0
Pour l’argent tu baisses ton pantalon comme tu l’avais fait pour tahkout et issaba et la zaama tu es contre issaba
Mout wagaff ya tahhane