Alors que ds pays méditerranéens et européens subissent de plein les ravages incessants de la pandémie de la COVID-19, la situation épidémiologique semble se stabiliser en Algérie en dépit de quelques augmentations des infections au COVID-19 dans pas moins de 21 wilayas. C’est effectivement ce que nous apprend le dernier rapport sanitaire de l’Institut National de la Santé Publique (INSP), un organisme scientifique officiel relevant du ministère de la Santé et chargé de mener des enquêtes épidémiologiques au sein de la population algérienne pour cerner les évolutions des diverses épidémies menaçant la santé publique.
Le dernier rapport de l’INSP nous explique qu’entre le 06 et le 12 mars, il a été enregistré une baisse des notifications à 1 060 nouveaux cas et une réduction de 7,3 % des nouvelles infections au COVID-19 sur l’ensemble du territoire national. Cela démontre que l’épidémie continue de reculer en Algérie.
Mais pas partout. En effet, au moins 21 wilayas ont enregistré une hausse des cas confirmés entre le 6 et 12 mars dernier. Cinq d’entre-elles ont plus que doublé leur nombre de nouveaux cas : Mascara a enregistré une augmentation de 28 nouveaux cas, le nombre passe de 4 à 32 cas, soit 8,0 fois plus que le nombre de la semaine précédente, indique à ce propos le dernier rapport de l’INSP.
Les autres wilayas sont Djelfa (2 à 13 cas, 6,5 fois), Guelma (3 à 10 cas, 3,3 fois), Tissemssilt (4 à 12 cas, 3,0 fois) et Bejaïa (10 à 28 nouveaux cas, soit 2,8 fois). La vigilance demeure toujours d’actualité et ces wilayas méritent un dispositif de surveillance pour éviter que ces nouvelles contaminations ne donnent lieu à un pic épidémique qui menacerait la santé des populations locales.
Concernant les cas hospitalisés, la tension continue aussi de baisser sur les hôpitaux algériens. Au 12 mars dernier, le nombre de patients hospitalisés continue de baisser. Le
nombre quotidien moyen des patients hospitalisés au niveau national est de 1 325,9 patients durant la semaine du 6 jusqu’au 12 mars, versus 1 424,7 patients la semaine précédente avec une réduction de -6,9 %. Le nombre quotidien de patients en réanimation est de 126,0 patients entre le 06 et le 12 mars versus 158,1 patients entre le 27 février et le 05 mars. Une réduction de -20,3 % entre ces deux semaines a été également constatée. C’est dire enfin que les signaux ne sont pas au rouge en Algérie et la reprise des marches populaires du Hirak n’ont produit aucun impact particulièrement négatif ou dangereux sur la circulation du coronavirus COVID-19 en Algérie. C’est rassurant.
Quel article bidon et sans logique…dans la lignée éditoriale…Du grand n’importe quoi…pourvu que le pays soit enfoncé et aille dans la direction voulue par Semmar ex caniche des bouteflika…
Il nous dit de continuer le hirak parce qu’il n impacte pas le covid…ahahahahahahaha…Tous les arguments sont bons même les plus tordus….Mr Semmar dans le classement des pseudo journalistes malhonnête sur terre vous êtes dans le peloton de tête avec les torchons marocains….Bravo!
Dey l’kelboun
S’il y avait un classement des plus belles mouches à m…….
En même temps sorti du museau d’un khenzir…