La situation sanitaire ne cesse de se dégrader à Alger et ses environs à cause de la nouvelle vague de contaminations au COVID-19. Ce samedi 14 novembre, les portes du CHU Mustapha Bacha se sont officiellement fermées devant l’afflux incessant des nouveaux patients contaminés ou souffrant des symptômes les plus sévères. Tous les lits dédiés au COVID-19 sont occupés et il n’y a plus aucune place pouvoir accueillir de nouveaux patients. Les responsables du CHU Mustapha Bacha ont pris ainsi la décision de refouler les nouveaux patients créant ainsi une situation de panique généralisée au sein de la population locale.
Et le CHU Mustapha Bacha n’est pas le seul établissement ayant pris cette décision amère. Plusieurs autres hôpitaux à Alger sont totalement saturés depuis bientôt 5 jours et ils n’ont plus aucune place à réserver aux nouveaux patients contaminés qui développement des syndromes de détresse respiratoire. A titre d’exemple, à Kouba, l’hôpital Bachir Mentouri n’accepte plus de patients atteints par le coronavirus.
Programmée pour accueillir une vingtaine de patients atteints d’une forme «intermédiaire» de la maladie, l’unité COVID-19 de cet hôpital à Kouba accueille un nombre beaucoup plus élevé évaluée à une cinquantaine de patients, nous apprennent plusieurs sources hospitalières.
Le même constat est à dresser au niveau de l’hôpital d’El Kettar où l’établissement est complètement saturé. Il n’y a même pas de place pour les cas les plus urgents dans cet hôpital qui dispose du service infectiologie le plus important de toute la capitale Alger. Selon plusieurs témoignages recueillis par Algérie Part, les médecins de l’hôpital d’El Kettar recommandent aux patients infectés par la COVID-19 les plus affaiblis de solliciter des cliniques privées pour y être hospitalisés. A Mustapha Bacha, les médecins font face à la saturation des services de réanimation et des soins intensifs. Des lits sont occupés par des cas grave de COVID-19 depuis 10 à 15 jours et il n’est plus possible de libérer de nouveaux lits de réanimation pour d’autres cas sévères et graves.
A l’hôpital de Béni Messous, l’autre grand CHU d’Alger disposant d’un service traitant des maladies infectieuses, la tension est également palpable et importante à cause de la saturation des services de l’unité COVID-19. Cette situation est appelée à durer encore dans les jours, voire semaines à venir, certifient plusieurs sources médicales contactées par Algérie Part. Il est urgent, selon nos sources, de construire de nouveaux hôpitaux de campagne pour accueillir le nombre de plus en plus important de patients souffrants de l’infection COVID-19 au niveau de la grande agglomération d’Alger.
Qu’attend l’armée « populaire » pour mettre en place des hôpitaux amovible wela elle est là juste pour emprisonner la populace. Il temps sue cette armée fasse son travail puisque les hôpitaux civils sont saturés si réellement elle est digne de ce peuple. Basta les vip se soignent en Allemagne et le citoyen crève devant les grilles des hôpitaux.
fake news
A eux les meilleurs hôpitaux en Allemagne, en Suisse et en France et à nous la populace les mouroirs en Algérie!
FAKE NEWS !!!!
Le directeur général de l’hôpital universitaire Mustapha Bacha, Benana Abdeslam, a nié la fermeture de l’hôpital en raison de la surcharge
Source Algérie Éco