Abdelmadjid Tebboune a été bel et bien saisi et interpellé sur la délicate question des détenus politiques et d’opinion qui croupissent encore dans les prisons algériennes, a confirmé Algérie Part auprès de plusieurs sources concordantes. Lors de ses entretiens qui se sont déroulés depuis hier samedi jusqu’à aujourd’hui dimanche avec plusieurs chefs de partis politiques comme Sofiane Djilali, leader de Jil Jadid, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrazak Makri,le président du Mouvement El Islah, Filali Ghouini, ainsi que d’une délégation du Front des forces socialistes (FFS) composée du Premier secrétaire national, Youcef Aouchiche, et du membre de l’instance présidentielle du parti, Hakim Belacel, le sujet des détenus politiques a été largement abordé.
Plusieurs chefs de partis comme les représentants du FFS ont beaucoup insisté sur l’importance de libérer les détenus d’opinion et la libération du champ médiatique. Abdelmadjid Tebboune a pris acte de ces doléances et a écouté attentivement l’argumentaire de ses interlocuteurs qui lui ont demandé des « gestes d’apaisement » afin de permettre à l’Algérie de retrouver son unité nationale autour de l’Etat alors que le pays travers l’une de ses pires crises contemporaines à cause des conséquences de la pandémie de la COVID-19 sur les équilibres financiers et économiques.
Mais face à ces doléances, Abdelmadjid Tebboune n’a pris aucun « engagement concret », assurent nos sources. Le Président algérien s’est contenté « d’écouter » et de « prendre acte » des avis et propositions de ses interlocuteurs invités à des entretiens au Palais Présidentiel d’El-Mouradia hier samedi et aujourd’hui dimanche. En clair, Abdelmadjid Tebboune n’a pas voulu donner des gages pour manifester ouvertement sa volonté de prendre en charge le dossier des détenus d’opinion et politiques dont le nombre ne cesse d’augmenter avec les interpellations et les poursuites judiciaires qui se poursuivent à l’encontre des activistes qui s’aventurent à exprimer leurs opinions politiques fustigeant le régime algérien.
Soulignons enfin plus d’une centaine de militants, journalistes, blogueurs, activistes du Hirak sont poursuivis, harcelés ou incarcérés arbitrairement par la justice algérienne.
Les hommes d’état sont rares sur terre, et encore plus rares en Algérie.
Le courage est un des attributs des hommes d’états, et jusqu’à présent le chef d’état de la RADP n’en a pas montré des masses. Les raison d’espérer un geste de raison à cour terme sont minces.
Malheureusement on est encore à l’age des bras de fer et du rapport de force.
Comment un gouvernement de n’importe quel pays espère avoir la confiance de son peuple, quand ce même gouvernement emprisonne à tours de bras ces enfants qui demandent juste à vivre en paix et dignement ? Aucune issue n’est proposée malheureusement pour nous.
Teboune est un executant, ce n’est pas quelqu’un que le peuple a choisis pour diriger l’Algerie. Ceux qui l’ont mis sur le siege ejectable de la presidence ce sont les generaux, et eux n’aiment pas les critiques, meme sense’ et positives. Donc, pour eux les civils sont des sujets et doivent accepter les ordres memes des militaires corrompu et ignorants, comme chez les maitres des esclaves de l’hosexuels Marocains, des sauvages de la Seoudites ou des violeurs et voleurs des Emirates.
A la suite des graves dérapages (viols, maltraitances, hoggras) sur des détenus d’opinions par les services de sécurité, la moindre des choses c’est d’ordonner l’arrêt de la mascarade de la « détention provisoire » qui se généralise dans un pays qui se dit « RADP » !
D’une exception, on en fait une règle en Algérie au mépris du Droit ! Comment voulez-vous que le peuple méprisé vous fasse confiance et les partenaires économiques étrangers cautionnent un climat chaotique ? On ne gouverne pas depuis un bunker !
Tebboune n’avait-il pas déjà pris un tel engagement en 2020 auprès de Sofiane Djilali qui nous avait alors annoncé pompeusement la libération prochaine de tous les détenus d’opinion vers le 5 juillet dernier (si ma mémoire ne me fait pas défaut). Tout parti d’opposition qui se respecte devrait poser comme condition sine qua non la libération de tous les détenus d’opinion avant toute discussion avec Tebboune et son gouvernement. Et surtout qu’on nous sorte pas l’excuse de non immixtion dans les affaires de justice. Il ne s’est pas du tout gêné de peser de tout son poids quand il a fallu libérer son fils. Que dire de Nezzar, condamné à 20 ans réclusion par contumace et qui revient au pays lavé de toute accusation, comme par magie, à bord d’un avion présidentiel et, cerise sur le gâteau, qui est accueilli avec les honneurs de l’armée à son arrivée à Boufarik. On ne voit pas ça même dans les républiques bananières. C’est là la marque de fabrique d’une républiqus patatière.
le peuple a choisis Tebboune pour diriger l’Algerie. Ces détenus « politiques » doivent croupir dans les prisons .
C’est le makhzen et les sionistes qui sont la cause de tout ce qui se passe en Algérie. Que Dieu bénisse nos chouhadas et Gaid Saleh . Et vive la république arabe du polizario.
Monsieur le Modérateur soyez sportif et professionnel !…ne censurez que ceux qui versent, dans les insultes pas ceux qui ont une opinion différente de la tienne! …..—–….LIBÉRER LE CHAMP MÉDIATIQUE ….. mais de quel champ médiatique parle-t-on ?..Toute la presse écrite privée qui » compte » est entre les mains des franco-berbéristes!…tous les sites electroniques francophones mais aussi un nombre important d’expression arabe sont les mains du même courant berbériste!… dans leur tentation de brouiller les cartes les partis dit d’opposition usent et abusent de mensonges ce qui provoque leur rejet par le peuple !….détenus politiques…. dites vous ? Alors soyons honnêtes et dites nous si a été arrêté pour ses opinions !….depuis sa venue en Algérie il ne cesse d’émettre des avis contraires a ceux du pouvoir en place et il n’a jamais été inquiété !…. mais lorsqu’il a par un message vidéo menacé les députés de liquidation en demandant aux jeunes de les tuer qu’il a été arrêté !…. L’opposition et ses bras médiatiques abuse et profite de l’absence de communication du pouvoir et de sa passivité! le champ libre, elle use de mensonges et de contrevérités !….on criant sur tous les toits que le pouvoir emprisonne les journalistes pour leurs écrits en citant le cas de drareni , personne ne peut les croire surtout en france!…drareni avec quelques journaleux qui se comptent sur les doigts d’une seule main ont été arrêtés pour d autres motifs! IL y a Quatre mille journalistes en Algerie et les prisons ne sont pas pleines de journalistes qui se surpassent dans leurs attaques envers le pouvoir et qui ne sont pas inquiétés !…..Il y a une chose que l’opposition infiltrée par des forces hostiles au pays devrait bien savoir : LE MENSONGE FAIT DU TORT A TOUTE CAUSE MEME LA PLUS JUSTE !…
Sofiane Djillali est le plus gros larbin de la junte militaire.une serpillière sur pattes à lui tout seul…
@nif et Patriote a vous lire on dirait que nous ne vivons pas dans la même planète, je respecte l’avis de tous le monde
mais la logique et les mathématique sont a l’opposé de votre analyse, le nombre des détenues et les résultats de toutes les élections (depuis 2019) selon les chiffres de l’administration sont catastrophiques.