Le harcèlement judiciaire à l’encontre du rédacteur en chef d’Algérie Part se poursuit. Comme par hasard, 4 jours après l’affaire Djezzy au tribunal de Boufarik, Abdou Semmar a été une nouvelle fois convoquée par le juge d’instruction de la première chambre du tribunal de Tébessa, à l’extrême est du pays.
Les services de sécurité ont remis la dite convocation au domicile familial d’Abdou Semmar sans fournir la moindre explication. Cette nouvelle affaire qui surgit brusquement soulève de sérieuses interrogations et démontre que le ministère de la Justice s’adonne à de nouvelles manœuvres pour étouffer la liberté de ton d’Algérie Part. Jusqu’à aujourd’hui, nous ignorons le contenu de l’affaire pour laquelle Abdou Semmar a été convoqué jusqu’à Tébessa. Mais ce contexte de tension et de répression nourrit de véritables inquiétudes sur les risques d’emprisonnement encourus par le Rédacteur en Chef d’Algérie Part.
Rien, absolument rien n’intimidera la rédaction d’Algérie Part et ces affaires judiciaires qui « pleuvent du ciel « ne feront que renforcer notre détermination dans cette lutte acharnée que nous sommes en train de mener contre le pouvoir de l’ombre.