L’éthique et le droit aimeraient que l’on recueille les différentes versions quand il s’agit d’un conflit entre associés ou de deux partenaires avant de juger à tors ou à raison, chose qui ne reflétait pas du tout dans votre écrit du 2610512018 intitulé « marché de la viande en Algérie : des associés Algériens écartés illégalement par leurs associés Italiens ».
Dans cet article, vous avez traité d’un sujet, unilatéralement, sans la moindre recherche de la véracité de ce qui a été cité et sans se donner la peine de concevoir la portée du préjudice que, cet amas de désinformations injustes peut porter à la stabilité et f image de l’entreprise. Ainsi, dire que des algériens sont écartés illégalement par les associés Italiens, est une aberration ou plus, je dirait une accusation grave, étant donné que les algériens sont toujours associés jusqu’a preuve du contraire et si d’aucuns confondent l’exclusion d’un associé à la révocation d’un gérant, je tiens à vous informer que les gérants algériens ont été légalement révoqués par l’assemblée générale des associés, assemblée à laquelle ces derniers ont délibérément choisi de ne pas assister, en préférant pratiquer la politique de la minorité bloquante.
De plus, la légalité de leurs révocation des postes de gestions est confirmée par trois jugements rendus par le j,rg. des affaires commerciales, suite à la demande des associés afin d’annuler les résolutions de leurs révocation. Mais la motivation et le verdict de la justice a estimé que toutes les procédures prises par la société étaient conformes aux statuts de la société et au code régissant les entreprises commerciales et a rejeté toutes les demandes des associés minoritaires algériens.
Encore, juger et dire qu’Inalca Algérie été » une affaire qui vite au cauchemar pour les associés algériens » or, la vérité et que, ce cauchemar a été vécu par les Italiens, du fait que depuis la création de la SARL INALCA ALGERIE où la gérance été entre les mains de Yaici
Boubekeur et de sa famille, pour plus de quatorze ans sans que ces derniers ne concrétisent le moindre projet de production en évoquant des difficultés imaginaires et préférant l’importation, domaine ou ils trouvaient leurs compte pour un détournement des biens de l’entreprise, des opérations qui ont été décelées par I’expertise de trois experts mandatés soit par l’entreprise soit par la justice, et une première condamnation de 1’ex gérant à une année de prison et un dédommagent de seize millions de dinars pour la société pour détournement d’un container de viande, sans citer trois dossiers qui sont toujours en instruction pour motif de dilapidation et détournement de sommes d’argent inimaginablé !
Pire encore ils ont tenté les procédures pour la dissolution de l’entreprise sans motifs \égal à quatrereprises si ce n’est la niet opposition de I’associé majoritaire italien. Ainsi omettre de dire la vérité sur les condamnations des associés algériens par les autorités judiciaires algériennes et se focaliser sur la supposition condamnation du gérant de Inalca Algérie ainsi que l’associé majoritaire en Italie, juste pour nuire à l’image de l’associé majoritaire et de la société Inalca Algérie, démontre la malveillance des sources de l’article, et même si condamnation existe contre le gérant Gianluca Guarischi il reste, au vu du droit algérien, innocent de toutes condamnations du fait que son casier judiciaire est rendu vierge par instance compétant
Et pour dire que les associés algériens été vraiment un facteur bloquant pour la réalisation de tout investissement la preuve probante est que depuis leurs révocation de la gérance, le nouveau gérant a pu en un temps record remettre I’entreprise sur la bonne voie, pas seulement en réalisant un bilan financier positif, mais mieux encore, il a pu réalisé deux
projets de production qui sont en phase fînale de réalisation, projets qui permettrons la création de 80 nouveaux postes d’emplois directes chose que vous pourriez constater par vous-même sans aucun intermédiaire, sur le site de la société sis à corso.
Cependant, pour vous démontrer que la source de votre écris relève de la fiction et ne cherche qu’a nuire l’associé ltalien, c’est en vous induisant en erreur en avançant des propos imaginaires, pour dire et de porter a écrire. que le futur gérant est un certain sénateur Roberto FormiGoni, or la vérité simple qui apparait dans le PV de l’assemblé générale des associés tenu le 1010512018 et qui a désigné un nouveau gérant qui se nomme RICCARDO ZANI, assemblée à laquelle, encore une fois, les associés Yaici n’ont pas
participés et ont brillés par leurs absences comme ils l’ont fait pour l’ensemble des assemblées depuis deux ans.
Et pour répondre à votre question (qui croire ?), je vous suggère d’approfondir votre recherche pour se confronter aux valeurs de travaille du groupe Inalca à l’échèle universel, transparence et intégrité du professionnalisme et dire pourquoi ees valeurs n’ont pat été concrétisées au temps ou, les associés Yaici étaient aux commandes de la Sarl Inalca
Algérie. En conclusion et par respect de la- déontologie et l’éthique journalistique veuillez publier cette mise au point à la même place et de la même manière sur votre journal.