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jeudi, avril 25, 2024

COVID-19. Algérie : le nombre cas hospitalisés dans les wilayas de l’ouest multiplié par 3 depuis le 31 octobre dernier

C’est une augmentation vertigineuse qui reflète l’ampleur inquiétante de la progression de l’épidémie de la COVID-19 en Algérie. Dans les wilayas de l’ouest du pays, le nombre des cas hospitalisés à a été multiplié par 3 depuis le 31 octobre jusqu’au 21 novembre dernier, nous apprend le dernier bulletin épidémiologique de l’Institut National de la Santé Publique (INSP), un organisme officiel relevant du ministère algérien de la Santé. 

« Le taux d’hospitalisation pour le 21 novembre de 9,07 patients en structure de
santé pour 100 000 habitants ; il a été multiplié par un facteur de 2,7 par rapport au taux de la journée du 31 octobre qui était de 3,36 », nous apprend ainsi l’INSP dans son dernier bulletin épidémiologique. La même nous apprend, par ailleurs, que la wilaya de Aïn Temouchent observe le taux d’hospitalisation le plus élevé avec 19,03, suivie de Mostaganem  avec 16,08 patients hospitalisés pour 100 000 habitants.

Concernant les nouvelles contaminations, toutes les wilayas de l’ouest du pays ont enregistré une incidence supérieure à 100 cas pour 100 000 habitants. Parmi les wilayas où le virus est encore très actif jusqu’au 21 novembre dernier, nous retrouvons  Tlemcen avec un taux d’incidence de 162,26 pour 100 mille habitants, Aïn Temouchent (211,82) et Oran
(330,11).  Au 21 novembre, le taux d’incidence de toute la région Ouest est de 147,55 cas pour 100 000 habitants. Il était de 114,46 au 31 octobre, soit une augmentation de 28,9 %.

Rappelons en dernier lieu que l’INSP contribue à la mise en œuvre de la politique sanitaire du pays. C’est une organisation à base scientifique qui met à la disposition du système de santé son expertise pour améliorer la santé de la population. Il est une source de conseil fiable pour les responsables de politiques sanitaires et réalise des enquêtes sur le terrain pour fournir des données indispensables à l’adoption des politiques publiques en matière de santé publique en Algérie.

 

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2 تعليقات

  1. Et le bâtard cocu djerad ose ouvrir son bec pour réfuter la fermeture des écoles et des mosquées.
    Regardez le spectacle affligeant de ces pseudo professeurs comme belhocine ou Mahyaoui drôles d’epidemiologistes de la fin des temps ou cet indécent larbin du conseil du désordre médical berkani…
    Voilà les salopards irresponsables avec ce débile ministre de la santé à un Génocide viral des algériens.
    Algérie bordel oui voilà le temps ou mebarek yadkhoul bih bi hmarek..
    Chanegriha hospitalisé en suisse aux suivants.
    Un ch’Allah

  2. Tous devront répondre pénalement de leurs lourdes responsabilités prémédités pour faire exploser l’épidémie en Algérie.
    Ces vas nus pieds criminellement incompétents comme leur boss mourant Tebboune que Dieu l’emporte rapidement rejoindre don maitre Gaid Salah la faih.
    La fin tragique de Djerad fils de pute est plus qu’une promesse sortie des pets de généraux… Pas plus une serpillère pour hommes comme sa femme l’a été pour d’autres.
    Blad rahat Takwad définitivement il n’est pas très loin le temps ou les algériens s’exprimeront autrement que par les paroles…très très bientôt gouvernement poubelle de débris humains.