Longtemps oublié donnant l’impression qu’il jouit d’une certaine immunité, l’ex-candidat aux élections présidentielles du 12 décembre 2019 et l’ancien ministre de la Culture entre 2015 et 2019, a été convoqué et entendu ce lundi 7 décembre par un juge d’instruction près du tribunal de Bir Mourad Rais à Alger, a appris Algérie Part de plusieurs sources concordantes.
Azzedine Mihoubi a été interrogé sur plusieurs affaires liées à des pratiques de dilapidation de deniers publics et de privilèges illicites ayant caractérisé la gestion de plusieurs projets financés par le ministère de la Culture. Il est à rappeler que l’ex-ministre de la Culture est cité dans le dossier de la réalisatrice et productrice Hadj Djilani Samira qui est poursuivie pour blanchiment d’argent, abus de fonction, dilapidation de deniers publics et fuite de capitaux vers l’étranger. Hadj Djilani Samira a été placée sous mandat de dépôt fin avril dernier. Son procès devra débuter, selon nos sources, dans les jours, voire semaines à venir.
Samira Hadj-Djilani était la productrice, avec sa société la Sarl Espace-Rencontre spécialisée dans la publicité et la distribution audiovisuelle, du film El-Hadj Ahmed Bey qui avait soulevé, pour rappel, une polémique, notamment sur les droits de scénario du film. Plusieurs sources judiciaires rapportent que la productrice est accusée d’avoir bénéficié des subventions débloquées par le ministère de la Culture lorsque ce département ministériel était dirigé par son ami Azzedine Mihoubi qu’elle avait accompagné durant la campagne électorale pour les élections du 12 décembre 2019 en tant que directrice de communication. Pour l’heure, dans ce dossier Azzedine Mihoubi est cité comme « témoin ». Mais il risque d’être inculpé à son tour dans les étapes à venir de l’instruction.
De leur côté, les membres de l’entourage de Samira Hadj-Djilani crient au scandale et dénoncent une cabale judiciaire montée de toutes pièces pour se venger contre une femme qui avait choisi de soutenir Azzedine Mihoubi lors du scrutin présidentiel du 12 décembre 2019. Algérie Part publiera prochainement une enquête fouillée sur ce dossier aux enjeux très sombres.
La guerre des clans continue de plus belle !!!
Pour une partie du clan c’était refaire des élections en poussant Ce zigoto ,et apparemment l’autre n’en veut pas.
Dans un pays normal, selon la constitution la vacance du pouvoir doit être décrétée car cela fait plus de 45 jours que le berzidan est absent. Dans leurs doustour, ils le font, le font passer et après ils s’assoient dessus.
Une chose est sûre c’est que le pays n’est pas sorti de l’auberge.
Juste.c est pour c a qu il s appelle BRESIDAN…
C’est quoi ce pays de voleurs ?
La nomenklatera est encore solide en Algérie ,il est temps qu’elle comprend que tenir le pays par la force et continué à spolier le pays, ne paye pas aussi longtemps qu’ils souhaitent, les algeriens se sont réveillés, partez vite et laissez le pays aux jeunes , votre travail est le plus médiocre au monde , c’est une honte pour vous , vous avez rendu le pays et les algeriens la risée du monde. l’Algérie est très riche elle a besoin d’une image que ça et arrêtez de mentir au peuple SVP. Le peuple ne mérite pas ça.
Ni guerre de clans ni guerre de tranchées, mihoubi est connu dans le milieu comme étant un ripoux sans vergogne qui doit son ascension aux émirats. Il était lié à un certain attiya des affaires étrangères connu lui aussi comme un escroc et un affairiste notoire au détriment des biens publics.